Ci après, le dernier commentaire que m'a adressés Philippe Siogli, l'oncle maternel de Gabriel. Avec autorisation, bien sûr, de le publier ici. Il l'a posté sur le blog du comité de soutien. Il n'a pas résisté à la censure. Le voici. Bonne lecture.
Il s'agit de sa réaction après la décision de la commission de révision des affaires pénales de maintenir le condamné en détention.
Le bon sens même. Le Pr Hoestland, qui a expertisé l'enfant, décrivait le viol comme un virus informatique qui prend possession d'une proie. Un cheval de Troie, en quelque sorte. Gabriel a été approché le soir même du verdict par sa tante et sa cousine, respectivement fille et petite-fille de l'agresseur. A très peu de temps de là, Gabriel est invité par sa tante sur la Côte d'Azur, et quitte Reims. Très peu de temps après, il se rétracte, de manière pour le moins confuse dans un premier temps : "j'ai été violé, mais je ne sais pas par qui ", puis un peu plus organisée :"je n'ai jamais été violé, j'ai tout inventé ".
Sauf que deux livres de Gérard Porcheron existent, qui retracent exactement les deux procès d'assise, avec les conclusions des experts. Après leur lecture, on comprend que le premier verdict ait été confirmé en appel.
Gabriel est manifestement sous influence. La cour de révision s'honore en demandant ce complément d'enquête : elle ne peut pas croire que deux jurys populaires, vous et moi, aient pu se laisser embarquer.
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