Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Affaire Iacono - Le livre
  • : Christian Iacono, ex-maire de Vence, a été condamné, en avril 2009, à 9 ans de réclusion pour le viol de son petit-fils. Il a fait appel de cette décision de la cour d'assises des Alpes-Maritimes. Journaliste à Nice-Matin, Gérard Porcheron raconte son enquête menée en 2003-2004. Il rend compte du procès et de l'appel dans ses livres: Affaire Iacono - Non Papy, je n'ai pas menti. et La douleur ça ne se rêve pas.
  • Contact

Recherche

15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 17:30
Ca fera plaisir à Boomerang 06 qui juge la fragilité des commentaires. Mais ne parle pas des dépositions sauf pour les dévaloriser. Ce que n'ont pas fait les cours d'assises. Ici, le témoignage de Rose-Mary Bennett, la grand-mère maternelle de Gabriel.
Nous sommes en page 64 de "La douleur, ça ne se rêve pas".

" Au mois de juin 2000, j'ai reçu un coup de fil tardif. C'était un samedi soir. Il était 23h30. Nous nous apprêtions à nous coucher. C'était Elisabeth, notre fille, la maman de Gabriel. Elle était en larmes. Elle m'a dit : " Maman, je suis dévastée. " Et, entre les sanglots, elle m'a expliqué ce qui s'était passé. Depuis plusieurs mois, Gabriel lui donnait des soucis. Il n'était pas comme d'habitude. Il ne travaillait plus à l'école. Il cassait des choses. Elle n'arrivait pas à avoir de conversations avec lui. Ce soir-là, elle l'avait pris dans ses bras. Elle s'était assise dans un fauteuil, l'avait pris sur se genoux et lui avait dit : " Parle-moi. Je ne peux pas t'aider si tu ne me dis rien. " Et il avait raconté ce qui s'était passé. Il venait d'avoir neuf ans. Alors, il avait parlé avec des mots d'enfants. Il ne connaissait pas les mots d'adultes à l'époque. Il avait dit que son grand-père lui léchait les fesses, lui suçait le zizi. Qu'une fois, il avait réussi à lui mettre le sien de zizi dans les fesses mais pas complètement. Et qu'une seconde fois, il le lui avait enfoncé plus profondément.
" Elisabeth n'était pas la seule à être dévastée. Je l'étais aussi. Elle m'a demandé ce qu'elle devait faire. J'ai un grand respect et beaucoup d'affection pour Philippe, malgré sa séparation d'avec notre fille. De nos jours, ça arrive plus souvent qu'à mon âge. Mon mari me supporte depuis cinquante-six ans. Alors, j'ai dit : " Il faut que Gabriel explique tout à son papa. Et il faut que Philippe contacte le 119 pour savoir quoi faire."
" Alors, Philippe a téléphoné. On lui a dit ce qu'il fallait faire : l'hôpital, les examens, la plainte. Ca dure depuis onze ans.
" Quand Gabriel est allé à la police, il a fait sa déclaration tout seul. Il n'a pas voulu être accompagné. Vous avez devant vous un jeune homme. Excusez-moi, je suis un peu émue. Il avait neuf ans. Il en a vingt aujourd'hui.
" Nous avons été interrogés. Mon mari par un chef. Moi par une dame. Une dame formidable. Un lieutenant de police (1). Elle a passé six heures à parler avec moi. A la fin, j'ai su que le jour-même, elle avait perdu son grand-père. Et elle avait passé tout ce temps avec moi avant de partir retrouver ses parents. Je n'oublierai jamais ce qu'elle a fait. Combien elle a été courageuse et généreuse.
" Nous avions décidé que nous ne verrions pas les journalistes. Nous avons tenu parole. Pour Gabriel. Pour qu'il souffre le moins possible.
" Nous avons reçu des menaces par téléphone. Nous n'avons pas porté plainte. La personne qui en était l'auteur est décédée il n'y a pas longtemps. Je ne dirai pas son nom (2). Nous avons cherché à protéger l'enfant et ses parents.
"Quand j'ai été interrogée à Nice, j'ai dit que nous pensions aller à Reims du 11 au 16 août. Le voyage a pu se faire. Nous avions dit qu'il fallait plusieurs jours de détente avec Gabriel avant de parler de cette histoire. Le deuxième ou le troisième jour, nous sommes allés visiter le musée de la Première Guerre mondiale. En sortant, nous avons vu un camp d'adolescents. Gabriel, à ce moment-là, m'a dit : "Oh mamy, moi aussi j'ai été en camp. J'ai fait du camping. C'était bien. Mais une fois, j'ai vu une ombre. J'ai cru que c'était mon grand-père. Je me suis caché derrière les autres enfants. " Il n'en a dit plus.
" Quand j'ai senti le moment venu, j'ai glissé à Elisabeth : " Va dire à Gabriel que mamy est prête à l'écouter. " Il a souhaité me parler.
" Nous sommes partis dans sa chambre après le dîner. Au début, nous étions assis côte à côte sur son lit. Il a dit : "Je veux te regarder. Je veux que tu me voies. " Il est allé chercher une petite table et une chaise. Il s'est assis face à moi. J'étais beaucoup plus calme que je ne le suis en vous parlant. Paronnez-moi. Il a dit : " Mamy, pose-moi des questions. " Et tout doucement, j'ai commencé à l'interroger. J'espère avec délicatesse. Et petit à petit, il a commencé à me dire ce que je savais déjà. Ce que j'avais entendu de la bouche de sa maman. Je n'ai pas sangloté. Mais mes larmes ont coulé jusque sur ma chemise. Il s'est levé comme une flèche et est revenu vers moi avec les mains pleines de mouchoirs en papier. Cette conversation a duré longtemps. Mais je crois que c'était important pour lui. Parfois, la douleur est libératrice.
" Avant de quitter Reims, le lendemain, mon mari a voulu faire le plein d'essence. Gabriel nous a accompagnés à la station-service. Il était sur le siège arrière. Il a dit à son papy : "Maintenant, tu es mon seul grand-père. Christian Iacono, lui, n'est plus mon grand-père. "
" A son âge, il a souffert la mort. Il n'a pas su ce que c'était qu'avoir une enfance, une adolescence. Il a subi beaucoup d'examens. Le dernier à presque seize ans. Vous voyez un adolescent qui accepte des examens pareils? "
" J'ai trois questions à vous poser, intervient le président. Vous parlez de trois signaux lancés par votre petit-fils. Tout d'abord, à la fin du mois de février 2000, il insiste pour que vous regardiez la vidéo des vacances à Auron. Vous, mais pas votre mari. "
" Nous étions montés à Reims pour fêter le quarantième anniversaire de notre fille. Lors de la dernière soirée de ce séjour, Gabriel a rappelé : " Vous aviez promis de regarder la cassette avec moi. " Il a ajouté : " Mais papy pourra aller écouter de la musique dans ma chambre. " Sur le film, à un moment donné, on le voyait avec son petit cousin dans la baignoire. Pour lui, le fils de Cécile était comme son petit frère. Il rêvait d'avoir un petit frère ou une petite soeur. Il m'a interrogée : " Que vois-tu? " Je vois un petit garçon qui rit et qui éclabousse. Et je te vois là.  " Mais tu ne vois pas qu'on dirait que je n'ai pas de tête? " C'était vrai. Mais à moment-là, je n'avais aucune idée de ce qu'il pouvait bien vouloir dire. C'est après que j'ai réalisé. Ensuite, il a commencé à mal travailler en classe. A casser les choses dans sa chambre. A être mal dans sa peau. Il n'avait plus de bonnes notes. Il souffrait. Et l'adulte que j'étais n'avait rien compris. Toute ma vie, je m'en rappellerai. Je n'ai pas entendu l'appel au secours. Plus tard, il a lâché qu'il voulait protéger son petit cousin. J'ai répondu : " Tu as raison. Je suis fière de toi. " Il y a aussi l'épisode du suppositoire. C'était pendant le même séjour rémois de février 2000. La veille de l'anniversaire d'Elisabeth, Gabriel était malade. J'ai suggéré à ma fille de lui mettre un suppositoire. Elle m'a répondu : " Il ne laisse personne toucher à ses fesses. " J'ai proposé d'essayer de le convaincre. Il était réticent. Il avait peur que je lui fasse mal. Il a fini par accepter. Je lui ai demandé si je lui avais fait mal. Il a eu cette phrase que je n'ai pas comprise non plus : " C'est vrai, toi, tu ne m'as pas fait mal. "
- Parlez-nous de l'altercation du mois de juillet 1998.
- Conformément à la décision du tribunal, Gabriel devait passer une semaine chez ses grands-parents Iacono. Philippe qui ne voulait plus voir ses parents nous chargeait de l'emmener à Vence et d'aller le chercher la semaine suivante. Tout s'est très bien passé quand nous l'avons amené. Nous avons été très bien reçus. Le Dr Iacono nous a proposé de prendre l'apéro. Les enfants nous attendaient. Nous avons décliné l'invitation. Il a insisté pour que nous prenions un verre le samedi suivant en venant chercher Gabriel. Nous avons promis. Mais ce jour-là, le Dr Iacono était en furie. Il a insulté mon mari. Nous n'avons rien compris. Nous ne l'avions jamais vu comme ça. Il nous reprochait d'être arrivés trop tôt. Nous avons décidé que nous n'emménerions plus Gabriel à Vence. Que quelqu'un d'autre le ferait. C'était le dimanche 12 juillet, jour de la finale du Mondial 1998. Gabriel portait la tenue des footballeurs brésiliens. Il était beau comme un astre. J'étais pétrifié et lui aussi. Il m'a serrée et plus tard, il m'a dit : " C'est pas après papy qu'il était en colère, c'est après moi. " Tu te souviens Gabriel?
- Je me souviens bien.
" Christian Iacono, intervient le président, émet une hypothèse selon laquelle vous feriez partie d'un groupe sectaire. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet?
- Depuis soixante ans, nous appartenons à la même assemblée. L'Eglise baptiste de Nice. On y lit la Bible. Je travaille encore aujourd'hui dans cette église. Un peu. Car l'âge est là et la santé s'envole. Nous sommes des Gédéons. Nous distribuons la Bible. Dans les hôtels. Devant les collèges. Gratuitement. Sans jamais forcer la main.
- Pouvez-vous nous parler des Frères Larges?
- Ils ont exactement la même vision que les Baptistes ou les membres de bien d'autres assemblées protestantes. Chez nous, on ne baptise pas les enfants. On leur demande de choisir leur religion quand ils sont en âge de le faire. Mais les parents présentent leur enfant devant l'église et devant Dieu. A ce moment-là, la pasteur parle et prie pour l'enfant.
- Ces gens ne sont ni des anormaux ni des fanatiques?
- Non. Dans la région, il y a pas mal d'église de Frères Larges. L'association des Gédéons a été créée vers 1900...
-Parlez-nous des Frères Larges.
- Pour moi, il n'y a pas de différence avec les Baptistes. Ils baptisent, eux aussi, l'adulte.
- Ont-ils des gourous susceptibles de manipuler les gens?
- Ils refusent le baptême de l'enfant pour attendre la décision de l'adulte, c'est vous dire.
1. - Il s'agit de Maryse Peirano dont la déposition à la barre est rapportée sous le titre " Il a pris mon zizi pour une sucette". C'est l'enquêtrice que l'accusé s'attache à discréditer dans la revue complaisante vençoise qui a commencé de publier son temoignage sans s'occuper de ce que pourrait dire la partie adverse. Comme si elle était acquise à l'accusé par deux fois condamné.
2. - Il s'agit d'Antoine Alési, le frère de Jeanine, l'épouse de l'accusé par deux fois condamné. Nous reparlerons de lui.

 

 

Voici le lien pour voir le reportage très bien fait de France 3.Il a été rediffusé ce dimanche 16 octobre 2011 et, de nouveau, il a été très apprécié. Un vrai travail de pro. Bravo! A voir et à revoir.

 

 

Le livre "Affaire Iacono, la douleur ça ne se rêve pas" est désormais en vente sur le site Lulu.com

Pour l'acheter, cliquez sur le lien suivant: 

 

http://www.lulu.com/browse/search.php?fListingClass=0&fSearch=affaire+iacono

Partager cet article
Repost0

commentaires

A
<br /> Je n'ai pas encore lu le deuxième ouvrage de Gérard Porcheron. Le premier frappait par la qualité documentaire d'un remarquable travail de journaliste, un vrai. Qui investigue et qui écoute, comme<br /> il se doit, particulièrement dans une affaire aussi lourde et sensible.<br /> Et qui de surcroît étaye sa position de faits objectifs, puisés à la source : ceux qui continuent à soutenir mordicus une soi-disant innocence n'ont pas daigné lire en détail le cours du procès ;<br /> tout y est consigné, ou presque, et ne laisse aucun doute. Comme en ont jugé très sainement les jurés des deux tribunaux qui ont statué, et confirmé.<br /> Pour ce qui est de Philippe Iacono, très injustement sali dans un pseudo-reportage partial et mal ficelé, il est ridicule de le présenter en petit revanchard acharné à se venger. Quiconque le<br /> connaît sait qu'il n'a aucunement ce profil, et s'il a longuement témoigné, comme on semble le lui reprocher, c'était pour soutenir son fils et montrer, ce que les expertises successives<br /> établissaient, qu'il y avait chez Christian Iacono des zones inquiétantes, entre despotisme dans sa toute-puissance et volonté de faire mal, donc sadisme sous-jacent. Ce qui,sans établir<br /> formellement quoi que ce soit, donnait au moins une crédibilité au témoignage.<br /> Tous ceux qui connaissent Gabriel ont le même sentiment : ce revirement providentiel intervient curieusement à un moment de son existence où, procès clos, il n'avait plus grand chose à se mettre<br /> sous la dent en terme de starisation, puisqu'il déclare lui-même que cela était son objectif. D'autant que dans le cours du procès, on peut imaginer que son avocat l'avait exhorté à ne rien<br /> communiquer, dans l'intérêt de son affaire. Frustration probable donc. Outre, peut-être, les mélodieux et musicaux tintements de belles pistoles.<br /> <br /> <br />
Répondre
T
<br /> Ciel, je suis démasqué !!! pffffoulalalala !<br /> La remarquable perspicacité de ‘boomerang06’ a fait tomber mon masque de ‘tristesse’ !!!<br /> Diantre ! Quelle intelligence prodigieuse ce ‘boomerang06’ !<br /> Gabriel, lui, avait compris tout de suite.<br /> Et si vous étiez seulement un père digne de ce nom, un père dont l’enfant s’est lui-même jeté en pâture à la vindicte populaire, se traitant lui-même de « pourri qui souffre et qui a menti », s’en<br /> vantant presque au point qu’il soit pris pour un phénomène de foire par des émissions de télé à sensation qui se l'arrachent et le placent au rang de menteur pathologique : au même titre que ce<br /> pitoyable « faux curé » toujours pas guéri, ou que cette misérable femme qui disait avoir vécu avec les loups et ne sait toujours pas si c’est vrai ou faux.<br /> Si seulement vous étiez un tant soit peu digne d’être juste père (ou mère), alors vous auriez deviné, ‘boomerang06’, simplement au pseudo, qui j’étais.<br /> <br /> Dans votre enthousiasme à verser votre fiel nauséabond sur ma dignité, vous en avez juste un tout petit peu oublié la Loi. J’ai le pressentiment que ce n’est pas la première fois.<br /> <br /> Et oui, ‘boomerang06’, même sur Internet, même derrière un Ô combien métaphorique pseudonyme, on ne peut pas impunément alléguer ou imputer un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la réputation<br /> d’une personne.<br /> Et même si vous promettez de ne plus venir ici, je vais aller vous chercher, moi !<br /> La fonctionnaire de police à qui j’ai fait parcourir votre prose enflammée, était confiante quant à la probabilité de vous identifier formellement, tôt ou tard.<br /> La plainte que j'ai déposée, vous permettra, bientôt j’espère, de découvrir ou de redécouvrir la définition juridique de la diffamation et de l’injure. Sans aucun verbiage ou galimatias, je vous<br /> promets.<br /> Vous pourrez sûrement donner aussi quelques conseils avisés à votre entourage, si d’aventure, certains plumitifs en herbe étaient tentés de vous emboîter le pas.<br /> Et c’est peut-être, qui sait, vous qui aurez l’occasion de visiter (ou revisiter ?) les prisons de Grasse ou de Nice, puisque vous risquez un séjour de six mois et/ou une amende de plus de 10.000<br /> €.<br /> Et comme vous avez été assez finaud pour faire allusion à mon appartenance religieuse et faire un brillant jeu de mot ridiculisant une communauté protestante parfaitement respectable, il pourrait<br /> bien y avoir un tarif spécial pour vous.<br /> J’espère que la communauté visée se joindra à moi pour vous faire payer le prix de votre intolérance crasse.<br /> <br /> J’ai subi pendant plus de 11 ans ce genre de dénigrement abject, toutes ces petitesses infâmes, ces déjections puantes, ces coups bas et lâches.<br /> J’en ai aussi payé le prix sur le plan professionnel, psychologique et social.<br /> J’ai joué le punching-ball sans broncher pour ne pas nuire à Gabriel.<br /> Maintenant, j’ai les mains libres pour rendre les coups à ceux qui veulent en découdre.<br /> Les punching-balls, un peu comme les boomerangs d’ailleurs, parfois on se les prend dans la figure.<br /> Ne vous étonnez donc pas de me voir poster désormais sous le pseudo de ‘papaencolère’ ou de ‘lepunchingballserebiffe’.<br /> Ça vous évitera de disperser vos neurones à deviner qui est qui sur les forums et les blogs, et à les mobiliser mieux que ça !<br /> Vous allez en avoir besoin.<br /> <br /> <br />
Répondre
I
<br /> Boomerang, je suis bien Isa N. , une femme et non Gérard Porcheron sous un pseudo inventé. Sachez que l'auteur ne se cache pas, il parle et écrit à découvert, pas besoin de pseudo. Il ne fait pas<br /> partie des "frères lâches" comme vous dites mais .....qu'en est-il de vous ?!!..........<br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> Eh bien, Mr Porcheron, vous frisez la paranoïa et vous avez réellement un problème avec les blogueurs : « qui cela peut-il être ????? » comme si vraiment cela avait une telle importance ! On s’en<br /> fiche éperdument : non je ne suis pas Mr IACONO, ni Mme IACONO, ni même la tante de Gabriel la cousine ou l’Avocat, ni Germaine, ni Robin, et pourtant vous m’aviez croisé plusieurs fois au procès,<br /> osant même me serrer la main. Bref quelle importance puisque le principe du Blog est de « communiquer », pas de jouer aux devinettes … à moins que vous vous ennuyez …à Nice-Matin ! Malheureusement,<br /> en manipulant à votre guise ce Blog à charge contre Mr IACONO, en retirant les commentaires qui vous déplaisent, en ajoutant des faux commentaires, vous entrez dans la secte bien connue « des<br /> frères lâches ». Demandez à « tristesse » (qui cela peut-il être ???), il connait très bien le sujet. Désolé pour vous, mais je ne viendrais plus alimenter vos journées, j’ai d’autres occupations<br /> bien plus intéressantes !! Adieu cher Confrère !!!<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> <br /> Donc comme ça, Bommerang s'en va? Bon débarras! Pourvu qu'il ne revienne pas demain tirer les flèches de Robin. Oui, restez ou vous êtes Monsieur l'Avocat du diable. Plaidez sur la place du<br /> Grand-Jardin. Idem pour Youpi et Germaine, qu'ils ne prennent pas la peine. Ici, ils ne convaincront personne. Et qu'ils ne viennent plus troubler la sérénité du site. Même déguisés. En dénonçant<br /> un jeu de devinettes. Alors qu'un commentaire pius tôt, l'un livre l'autre à la vindicte populaire. Oui vraiment, Boomerang, repartez d'où vous venez et soyez fidèle à la parole donnée. Nul<br /> besoin de votre haine, de votre méchanceté, de vos interprétations, de vos dénonciations, de vos lèvres pincées de vos colères de juillet étendues à l'année. Passez votre chemin. Economisez votre<br /> énergie. Vous n'avez pas fini.<br /> <br /> <br /> Gérard Porcheron.<br /> <br /> <br /> PS : Je laisse un moment vos commenaires. Ils en disent long. Très long.<br /> <br /> <br /> <br />
I
<br /> Bonsoir,<br /> Perso, avoir un pseudo dans une association ou autre , çà passe, mais un pseudo sur un blog dans une affaire aussi grave pour déverser sa colère, sa haine, ses grossièretés et j'en passe relève<br /> d'une pure lâcheté. Se sentiront visées les personnes concernées .......<br /> Isa N<br /> <br /> <br />
Répondre